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Mouaahhaahhaahahah :D :D :D :D



Pure Pip Producer a écrit :
23 févr. 2018 10:04
Ce qui doit être répétitif doit l'être, ce qui doit être mouvant, doit l'être.

A vous de séparer ce qui doit être répétitif, de ce qui doit être mouvant.

Et par mouvant, je ne veux pas dire que ce soit nécessairement discrétionnaire.

Mouvant veut dire mouvant.

#DemondeLaplace
Quand on est à ce point en avance, il faut s'attendre à ce que la plupart des gens ne comprennent pas ce que vous faites.

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Pure Pip Producer a écrit :
26 févr. 2018 15:32
Quand on lit ça et qu’on pense qu’il y en a ici, qui me gonflait (pour rester poli), pour que je fasse des Backtests.

Tandis que moi, je m’étouffais à expliquer, par de long posts, que ça ne servait à rien.

Qu’on se fichait de moi ouvertement et qu’on m’écrivait que si je tenais ce discours, personne ne me prendrait au sérieux...
Alors qu’en fait, c’est ceux qui présentent un Backtest qu’il ne fallait pas prendre au sérieux 🤣🤣🤣
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D'où mon réel souci (le principal).

Oui, oui, la sous-capitalisation n'est plus le souci principal.

Voici le schéma de mon souci principal :


1- Je détiens le Graal Absolu (ceci est clair net et sans bavure.)

2- Je ne peux pas le backtester (quoiqu'en fait je peux apporter une bien meilleure preuve, l’espérance mathématique. Sauf qu'en apportant cette preuve je donnerais aussi le concept global d'intervention... C'est ce que les gens appellent "stratégie" mais qui est un terme bien trop réducteur ici. Il s'agit de bien plus que d'une "stratégie")

3- Je ne peux pas l'exploiter chez un broker quel qu'il soit (on me volerait assurément, ou alors en masquant les trades réels par des "trades fantômes", ce qui ne me plait guerre. Il me faut donc l'exploiter sans intermédiaire, en utilisant FX ALL Thomson Reuters)



Par conséquent, je décide donc, en l'état actuel, de continuer de progresser de manière totalement discrétionnaire, sans employer le Graal Absolu.

Jusqu'à pouvoir opérer sur FX ALL Thomson Reuters, en augmentant les Timeframes avec un capital de départ de 10M€ (somme, qui je crois est le strict minimum pour pouvoir opérer sur FX ALL.. et encore! C'est pas dit qu'ils acceptent pour une si petite mise de départ).




Je continu aussi et surtout de chercher comment prouver ce que je dis, sans en dévoiler le concept global.

Je pense que c'est possible.

J'ai plein d'idée qui me viennent mais si vous en avez aussi, je vous mets à contribution.

Donnez-moi des idées qui me permettent de vous prouver que je détiens le Graal Absolu, sans que je vous en dévoile le concept.

Profitez-en, car pour ceux qui me connaissent, ils savent très bien que ce n'est pas tous les jours que je demande l'avis du public! :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:
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Voyez ça comme un casse-tête chinois!

Parce que c'en est un!
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27 févr. 2018 12:57

Pure Pip Producer a écrit :
27 févr. 2018 11:12
Donnez-moi des idées qui me permettent de vous prouver que je détiens le Graal Absolu, sans que je vous en dévoile le concept.
Le Graal n'existe pas, tout est illusion ) le secret est la discipline.

Tu ouvres 1 compte chez 2 différents broker et tu dispatches tes trades et on additionnera la perf des deux myfxbook ; )

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Evidemment! Le Graal n’existe pas, tout comme greffer un poumon n’existait pas...

Ben voyons.

L’avance que j’ai est du même ordre.

Tu es dans l’incapacité mentale de comprendre de quoi il retourne.

Désolé d’être si brutal mais il ne s’agit de rien de commum avec ce que ton espace cérébral peut englober.

Ça dépasse l’entendement humain moyen haut.


Te concernant, « la discipline » consiste à entrer de manière fixe sur volatilité.

Soumission aux éléments.

Tu mourras.

Ta compréhension est aussi limitée que celle qui était mienne en 2014.

Puis 4 années à hauteur de 24h/24h plus tard...

J’ai repoussé la limite au-delà de la compréhension humaine.

Ni plus, ni moins.

Par conséquent, tu ne peux que me dire : «  le Graal n’existe pas, il faut appliquer un système de manière discipliné »

C’est comme me dire que le feu ça brule et que l’eau ça mouille...






Pour ce qui est de dispatcher les ordres chez plusieurs brokers, ce n’est pas souhaitable puisqu’il n’y a qu’1 seul ordre d’ouvert à chaque fois.

Ce qui fait que d’ouvrir 2 ordres ou 1000 ordres, chez un broker, c’est la même chose.

Ou alors il faudrait que chaque ordre soit ouvert à chaque fois chez un broker différent.

Puis refermer le compte.

Donc ouvrir un trade serait égal à ouvrir un compte chez un broker.

Mouais... c’est peut-etre jouable comme ça.

On en serait là 🤔





Si on en est là, je prefere encore continuer ma progression discrétionnaire.

Jusqu’à obtenir la confiance d’investisseurs intelligents.





Investisseurs intelligents dans mon langage :

Millionnaires souhaitant devenir milliardaires.




C’est à eux que je m’adresse.

C’est à eux que je pourrais prouver cela en ouvrant 1 seul trade chez 1 seul broker par trade.

Evidemment, il serait trop facile de tricher!

Donc, il faudrait que ce soit un compte qu’ils auraient eux-même ouvert.

Par conséquent, ça reviendrait encore et toujours à leur donner le track-record complet...

Quand je vous disais que c’était un casse-tete chinois 😱😱
Dernière édition par Pure Pip Producer le 27 févr. 2018 13:52, édité 2 fois.
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Message déplacé.
Dernière édition par Pure Pip Producer le 27 févr. 2018 13:39, édité 1 fois.
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Article très interesant où l’on peut constater que le maitre est et reste le propriétaire d’un Hedge Fund.

lesechos.fr a écrit : Hedge funds : comment les gérants préparent leur sortie


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Nessim Ait-kacimi 24/02/2018

Préparer leur sortie. C'est la dernière étape de la carrière des grands gérants de hedge funds avant la transformation de leur fonds en société d'investissement familiale (« family office ») chargée de gérer leur fortune personnelle et celles des collaborateurs.

« L'institutionnalisation de la clientèle des hedge funds induit une augmentation des exigences de transparence et une attention toute particulière portée à la stabilité de l'organisation du fonds et donc à ses problématiques de succession et transition » souligne un rapport (1) de la société de recrutement et conseil Korn Ferry. D'après le consultant Preqin, les institutionnels ont investi plus de 2.000 milliards de dollars dans les fonds alternatifs, soit 58 % des actifs. Près d'un fonds de pension public sur deux est investi dans des hedge funds. C'est aussi le cas de certains fonds souverains, « Adia » à Abou Dhabi, ou le fonds « CIC » en Chine. Or tous ces fonds privilégient les grands hedge funds réputés, anciens et sûrs.

Plus le fonds alternatif est de grande taille et sa gestion collégiale, plus sa succession est souple et préparée en amont. Ainsi, les grands fonds quantitatifs comme Renaissance , D.E Shaw, Two Sigma , ont une approche très structurée en la matière. C'est aussi le cas de Bridgewater , le fonds de Ray Dalio . Pour ce dernier, la préservation de la culture et organisation très particulières de son fonds sont essentielles, car c'est la clef de son succès . En 2017, il s'était ainsi séparé d'un commun accord de Jon Rubinstein, un ancien d'Apple, et qui était le codirigeant du fonds depuis seulement 10 mois. « Il n'y avait pas de compatibilité culturelle » avait à l'époque expliqué Ray Dalio , qui a averti ses clients : le processus de transition et succession sera long et très formel.

Céder le pouvoir

Ces individualistes farouches que sont les gérants de hedge funds sont souvent peu désireux de passer la main, et repoussent ainsi les échéances. Ils ont fondé leur hedge fund et en détiennent la grande majorité du capital voire l'intégralité. Ils gèrent leur entreprise comme ils l'entendent sans le contrôle d'un conseil d'administration. « C'est une grande différence avec les sociétés cotées où les transitions sont essentiellement de la responsabilité du conseil d'administration », estime Korn Ferry. Dans ces conditions, aucun successeur en interne ne peut trouver grâce à leurs yeux. En outre, quand il se retire de la gestion de son fonds, le fondateur reste investi dans son hedge fund et confie donc sa fortune à son successeur. Ce qui est très difficile pour un trader qui a géré son argent toute sa carrière.

Gestion personnalisée

Lorsqu'un hedge fund est dominé par la personnalité de son fondateur ( Paul Tudor Jones , Louis Bacon...) et opère sur un style discrétionnaire très personnel, les transitions sont délicates car les clients redoutent que les performances ultérieures ne soient pas aussi bonnes. Parfois, les successeurs pressentis décident de lancer leur propre fonds - c'est l'objectif ultime de tout gérant - et tout le processus de sélection est à refaire. Ainsi l'année passée, Israël Englander le fondateur du fonds Millennium avait perdu son successeur potentiel, Michael Gelband. Ce dernier avait claqué la porte car il n'avait pas obtenu de participation au sein du capital du hedge fund. De son côté Louis Bacon n'était pas parvenu à retenir Greg Coffey, le « magicien d'Oz » , malgré de sérieuses concessions. Fatigué et lassé des marchés, il était parti en retraite anticipée fin 2012 avant de lancer son propre hedge fund cette année.



Source : lesechos.fr
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Message déplacé.
Dernière édition par Pure Pip Producer le 27 févr. 2018 13:40, édité 1 fois.
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En comparaison de cet article où l’on peut constater que les quants ne sont des employés (pour ne pas dire les larbins) des sociétés de gestion plus classiques.

lesechos.fr a écrit : Pourquoi les fonds doivent se saisir de l'intelligence artificielle


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Anne Drif 25/02/2018

Deux tiers des investisseurs en capital-investissement s'attendent à ce que les gérants se tournent vers l'AI, le big data et la blockchain pour améliorer leurs performances. Mais, à quelques exceptions, les 7.700 gérants du marché n'ont pas pris la mesure de la révolution.

« Une expertise avancée des langages Python, Java, Scala et SQL exigée, aucune expérience financière requise ». Très éloignées des canons de Wall Street, cet extrait des offres de « Data Science Engineer », « data scientist », et « Data governance professional » postées il y a une semaine sur Linkedin émanent de Blackstone, la première firme mondiale de capital-investissement. Celle-ci veut renforcer sa nouvelle force de frappe dédiée à l'analyse intelligente des données, « Blackstone Data Initiative ». Son objectif : donner « un avantage compétitif à ses investisseurs ».

Le géant donne ici une clé stratégique de différenciation entre les 7.775 gérants du non coté à la peine pour déployer leurs 1.700 milliards de dollars de capitaux disponibles : ceux qui se saisiront les premiers du big data, de l'intelligence artificielle (AI) et de la blockchain pour sourcer de nouvelles opportunités d'investissement et accélérer leur cycle de levées de fonds, s'imposeront.

Les plus petits auront une chance de devancer la concurrence naissante des nouveaux modes de financement du crowdfunding et des ICO (émission d'actifs numériques échangeables en cryptomonnaies). « Nous sommes de fervents partisans de la donnée », n'a donc pas hésité à faire valoir à ses investisseurs, Tony James, le président de Blackstone lors de la présentation de ses résultats début février.

Un enjeu absent des audits

Mais la firme est une exception dans ce milieu conservateur, habitué à s'appuyer sur le réseau de quelques figures tutélaires, souvent jalouses de leur contrôle. « Nous n'avons reçu aucune question de la part des gérants de private equity sur l'intelligence artificielle ou l'emploi de la blockchain en vue d'identifier des cibles ou d'améliorer les processus de gestion, note Pierre Peladeau, associé chez Pwc, qui conduit depuis plusieurs semaines une série d'audits digitaux auprès de fonds.

« Le private equity a environ quatre ans de décalage avec les grands groupes dans la prise de conscience des enjeux digitaux »

Ces derniers sont encore concentrés à déployer des leviers de transformation dans leur portefeuille pour créer de la valeur ou éviter d'en perdre. « Le private equity a environ quatre ans de décalage avec les grands groupes dans la prise de conscience des enjeux digitaux, souligne-t-il. Les premiers groupes Telecom se sont saisis du sujet il y a six ans déjà ».

Pourtant, l'attente de leurs « clients », les grands fonds de retraites, fonds de fonds et assureurs, est réelle. Deux tiers d'entre eux s'attendent à ce qu'ils déploient des facilités d'investissement via l'intelligence artificielle et la blockchain dans les cinq ans à venir, selon Coller Capital.

MENACE SUR LES COMMISSIONS
Voici une menace qui pourrait freiner encore un peu plus l'intégration de l'AI et de la blockchain dans les processus de gestion des fonds : ces technologies vont exiger des gérants qu'ils revoient leur modèle de commission. L'alerte a été lancée par Wulf Kaal, directeur de l'institut du private equity à l'université St Thomas: « les nouvelles technologies sapent le modèle traditionnel des 2 % de commissions indexées sur la masse des actifs et de 20 % des plus-values, car elles permettent de tarifer la gestion à la transaction ». Il se réfère à l'industrie des hedges funds : Numerai a réduit ses coûts via l'AI et LendingRobot a entièrement automatisé le métier avec une commission de gestion de seulement 1 %.

Des débuts dans l'AI

A l'instar de Blackstone, quelques rares acteurs se saisissent de l'enjeu. Unigestion s'est associé avec Northern Trust et IBM pour tester l'emploi d'un registre décentralisé afin de moderniser l'administration de ses fonds de capital-investissement. Le géant français Ardian a de son côté initié une réflexion plus avancée sur l'AI.

« Les quelques initiatives d'intelligence artificielle en cours se concentrent sur le machine learning et l'automatisation de tâches répétitives, telles que la collection d'information, le reporting financier et la recherche analytique », observe François Aguerre, associé chez Coller Capital. « Il n'est pas à exclure que l'AI permette des avancées du côté des levées de fonds, voire du sourcing d'investissement, mais dans le futur ». Quant à la blockchain, « elle pourrait augmenter de manière significative la productivité des gérants, en simplifiant la gestion administrative des fonds. Comme pour l'AI, ces progrès sont sans doute du moyen long terme ».

Le capital-risque, le plus avancé

Les plus avancés sont les gérants du capital-risque. OneRagtime, la société d'investissement de Jean-Marie Messier et Stéphanie Hospital, a développé, parmi d'autres, un outil interne de « plongée profonde » (deep dive) qui analyse plus de 730.000 données sur des cibles au travers d'algorithmes qui lui remontent des recommandations d'investissements. « Nous restons à l'affût de start-up capables de développer des solutions de liquidité des actions des titres de start-up d'un côté (blockchain) et pour l'analyse des profils d'entrepreneurs (AI) de l'autre », lance de son côté Jean de la Rochebrochard, chez Kima Ventures (Xavier Niel).




Source : lesechos.fr
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