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13 mars 2018 01:10

AFP via Romandie.com, publié le 12 mars 2018 a écrit :
Wall Street en ordre dispersé, le Nasdaq à un record

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Wall Street a terminé en ordre dispersé lundi, l'indice Dow Jones (-0,62%) souffrant des craintes d'une guerre commerciale mondiale attisée par Donald Trump tandis que le Nasdaq (+0,36%) a fini à un nouveau record.

Selon les résultats définitifs à la clôture, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average a perdu 157,13 points à 25.178,61 points

Le Nasdaq, à forte coloration technologique, a pris 27,51 points à 7.588,32 points.

L'indice élargi S&P 500 a abandonné 0,13%, ou 3,55 points, à 2.783,02 points.

"Le marché a été agité. L'inquiétude est assez évidente et on l'a observée à travers les grandes industries exportatrices américaines telles que Boeing: la crainte d'une guerre commerciale augmente", a noté Peter Cardillo de First Standard Financial.

L'avionneur américain a perdu 2,91% à 344,19 dollars le jour du 31e anniversaire de son entrée dans l'indice Dow Jones, un anniversaire partagé avec la firme Coca-Cola (-0,65% à 44,53 dollars).

"Toutes les multinationales sont exposées aux menaces de rétorsion", a noté quant à lui Art Hogan de Wunderlich Securities.

La commissaire européenne au Commerce Cecilia Malmström a affirmé lundi que l'Union européenne se défendrait face à ceux qui veulent l'"intimider" par des mesures protectionnistes après que M. Trump a imposé des droits de douane de 25% sur l'acier et 10% sur l'aluminium.

Signe de l'appréhension des marchés, les valeurs de l'industrie regroupées au sein de l'indice S&P 500 ont perdu 1,17%, de loin la plus forte chute parmi les 11 secteurs qui composent l'indice élargi.

Selon Tom Cahill de Ventura Wealth Management, il est toutefois "trop tôt pour paniquer", les mesures concrètes n'ayant pas encore été annoncées.


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14 mars 2018 00:12

AFP via Romandie.com, publié le 13 mars 2018 a écrit :
Wall Street en ordre dispersé, le Nasdaq à un record

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Wall Street a terminé en recul mardi, les valeurs de la technologie souffrant particulièrement d'un mouvement d'inquiétude amplifié par le limogeage du chef de la diplomatie américaine Rex Tillerson par Donald Trump.

Selon des résultats définitifs à la clôture, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average a perdu 0,68%, ou 171,58 points, à 25.007,03 points.

Le Nasdaq, à forte coloration technologique, a reculé de 1,02%, ou 77,31 points, à 7.511,01 points.

L'indice élargi S&P 500 a baissé de 0,64%, ou 17,71 points, à 2.765,31 points.

Si presque tous les secteurs ont été touchés par l'accès de faiblesse de la Bourse de New York, celui des valeurs technologiques a été le plus affecté car il avait particulièrement augmenté au cours des dernières séances. L'indice le représentant au sein du S&P 500 a chuté de 1,21%.

La place financière a été ébranlée par l'annonce du limogeage de Rex Tillerson et de son remplacement par l'actuel directeur de la CIA, Mike Pompeo.

"Wall Street s'interroge sur le niveau de stabilité de l'administration américaine", a noté Sam Stovall de CFRA.

Ce départ est le dernier d'une longue liste, à laquelle le conseiller économique de la Maison Blanche Gary Cohn était déjà venu s'ajouter la semaine dernière.

"Le risque que les Républicains perdent la chambre des Représentants lors des élections de mi-mandat en novembre est de plus en plus grand", a estimé M. Stovall.

Dans ce contexte, "on observe un phénomène de rotation des valeurs technologiques vers les valeurs de repli à l'image de la santé, les services publics et l'immobilier", a-t-il commenté.

Par ailleurs, "il semble que Mike Pompeo a une approche plus protectionniste que (Rex) Tillerson, ce qui augmente les risques de batailles commerciales" entre les Etats-Unis et ses partenaires, a avancé Karl Haeling de LBBW.

La menace d'une guerre commerciale avec l'Europe et la Chine a été attisée la semaine dernière par le président américain lorsqu'il a adopté des taxes à l'importation de 25% sur l'acier et de 10% sur l'aluminium.

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15 mars 2018 01:05

AFP via Romandie.com, publié le 14 mars 2018 a écrit :
Fébrile, Wall Street termine dans le rouge

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La Bourse de New York a terminé dans le rouge mercredi, le marché se laissant gagner par la nervosité face aux craintes de batailles commerciales entre les États-Unis et ses partenaires et à l'agitation permanente à la Maison Blanche.

Son indice vedette, le Dow Jones Industrial Average, a reculé de 1,00% à 24.758,12 points.

Le Nasdaq, à forte coloration technologique, a perdu 0,19% à 7.496,81 points.

L'indice élargi S&P 500 a cédé 0,57% à 2.749,48 points.

Comme la veille, les indices ont débuté la séance en hausse avant de perdre peu à peu du terrain.

"Cette instabilité reflète la nervosité du marché", a commenté Kate Warne d'Edward Jones.

"Il y a encore quelques mois, les investisseurs réagissaient peu aux indicateurs et aux informations émergeant durant la séance car ils étaient convaincus que les taux d'intérêt resteraient bas et que la croissance resterait suffisamment solide pour alimenter la progression des actions", a-t-elle souligné. "En ce moment, ils s'interrogent vraiment sur la direction que va prendre le marché."

Mercredi les récentes décisions de la Maison Blanche sur ses échanges avec les autres pays étaient de nouveau sur le devant de la scène.

Wall Street "ne s'attendait pas à un tel protectionnisme et redoute des mesures de rétorsion", a remarqué Mme Warne en évoquant les taxes à l'importation d'acier et d'aluminium ou le veto de Donald Trump au rachat du groupe américain Qualcomm par Broadcom.

Selon plusieurs médias américains, l'administration envisage aussi d'imposer des droits de douane sur les importations chinoises équivalant à 60 milliards de dollars.

Les nombreux changements effectués récemment au sein de l'administration américaine, dont les départs du conseiller économique en chef Gary Cohn la semaine dernière et du patron de la diplomatie américaine Rex Tillerson mardi, alimentent aussi la fébrilité du marché.

L'annonce du remplacement de M. Cohn par Larry Kudlow, un économiste conservateur et personnalité télévisuelle, n'a pas provoqué de réaction spécifique sur le marché.

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09 avr. 2018 13:59

lesechos.fr, publié le 9 avril 2018 a écrit :
Le géant de l'aluminium Rusal s'effondre en Bourse

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Sanctionné par les Etats-Unis, le groupe d'Oleg Deripaska pourrait faire défaut sur une partie de sa dette. A Londres, le marché de l'aluminium s'affole.

Les dernières sanctions imposées par les Etats-Unis à la Russie bousculent le marché de l'aluminium, l'un des plus grands secteurs des matières premières.

Le géant Rusal a perdu lundi jusque 49 % de sa valeur à la Bourse de Moscou, avant de limiter son recul. Mais il plonge encore de près de 20 % à la mi-journée.

Les investisseurs sont sur le qui-vive. Le groupe du milliardaire russe Oleg Deripaska est un mastodonte, le plus important producteur d'aluminium de la planète en dehors de la Chine : il représente autour de 7 % de l'offre mondiale d'aluminium. Or, la direction a prévenu que Rusal pourrait faire défaut sur une partie de sa dette.

« Le groupe évalue actuellement l'impact de tels défauts techniques sur sa position financière », indique Rusal dans un communiqué publié à la Bourse de Hong Kong, où elle est également cotée.

La société a d'ailleurs aussi plongé de près de 50 % à la Bourse de Hong Kong, perdant l'équivalent de quelque 3,5 milliards d'euros.


Sept « oligarques » sanctionnés

Washington a annoncé vendredi des sanctions contre plusieurs « oligarques » proches de Vladimir Poutine. L'administration américaine invoque les « attaques » de Moscou contre « les démocraties occidentales ». Elle cite aussi les actions du pays en Crimée, en Ukraine, et en Syrie.

Oleg Deripaska et plusieurs entreprises contrôlées par l'homme d'affaires, dont Rusal, sont notamment visées.

Sur la liste, on trouve au total 7 personnalités du monde des affaires russe, dont le patron de Gazprom et le directeur général de Surgutneftegaz, ainsi que 12 entreprises qu'ils détiennent ou contrôlent, et également 17 fonctionnaires.


Le prix de l'aluminium s'envole

A Londres, le marché de l'aluminium s'affole. Le prix du métal s'envole. Après un bond de 2 % vendredi soir, il grimpe encore de plus de 3 % lundi.

Les investisseurs craignent que les difficultés que Rusal pourrait rencontrer n'entravent le commerce de l'aluminium.

@MuryelJacque

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09 avr. 2018 14:06

On dirait que ce coup ci, les dernières sanctions US piquent un peu pour Poutine :o

AFP via romandie.com, publié le 9 avril 2018 a écrit :
Moscou: les indices boursiers chutent d'environ 10% après les sanctions américaines

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Les marchés boursiers russes dégringolaient lundi d'environ 10% après l'annonce de nouvelles sanctions américaines contre des hommes d'affaires russes et leurs entreprises, qui portent un coup sérieux à l'économie russe.

A la Bourse de Moscou, l'indice RTS (libellé en dollars) chutait de 11,5% vers 11H15 GMT et le Micex (en roubles) de 9,2%.


(©AFP / 09 avril 2018 12h26)

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09 avr. 2018 14:32

Les US sont en guerre sur tous les terrains, je les supportent de moins en moins!!

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09 avr. 2018 15:01

neo a écrit :
09 avr. 2018 14:32
Les US sont en guerre sur tous les terrains, je les supportent de moins en moins!!
Ce qui est intéressant, c'est que autant l'EU ou la Chine sont en mesure de dire "Pas si vite mon petit bonhomme" à Trump. Par contre Poutine, le guerrier avec sa grande armée, mais son économie de la taille de l'Espagne, pourrait trouver la pilule amère.

Les Russes sont un peu comme la France, ils veulent jouer aux grands sur le plan géo-politique, mais sans pourvoir s'appuyer sur une économie puissante. En plus la France n'a pas de monnaie propre, et le rouble ça vaut rien. Alors qu'il suffit aux yankees de menacer une entreprise ou un état de leur interdire l'usage de l'USD pour les mettre à genoux.

Poutine, c'est un peu comme un enfant. Il provoque jusqu'à ce qu'il se fasse taper sur les doigts par les adultes.

L'histoire de l’empoisonnement de l'ancien espion est un modèle du genre. Il signe son forfait avec un poison spécifique pour qu'il n'y aie vraiment aucun doute, et quand il voit que cela réagit un peu plus que d'habitude, il nie comme un arracheur de dents.

Avec un guignol instable comme Trump, un Poutine certes redoutable joueur d'échecs mais pas là l'abri d'une sortie de route, c'est encore le chinois qui passe pour le grand frère rassurant dans l'histoire. Quand à l'EU, cela reste un géant économique mais un nain politique aphone.

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09 avr. 2018 15:55

Medialux a écrit :
09 avr. 2018 15:01
neo a écrit :
09 avr. 2018 14:32
Les US sont en guerre sur tous les terrains, je les supportent de moins en moins!!
Ce qui est intéressant, c'est que autant l'EU ou la Chine sont en mesure de dire "Pas si vite mon petit bonhomme" à Trump. Par contre Poutine, le guerrier avec sa grande armée, mais son économie de la taille de l'Espagne, pourrait trouver la pilule amère.

Les Russes sont un peu comme la France, ils veulent jouer aux grands sur le plan géo-politique, mais sans pourvoir s'appuyer sur une économie puissante. En plus la France n'a pas de monnaie propre, et le rouble ça vaut rien. Alors qu'il suffit aux yankees de menacer une entreprise ou un état de leur interdire l'usage de l'USD pour les mettre à genoux.

Poutine, c'est un peu comme un enfant. Il provoque jusqu'à ce qu'il se fasse taper sur les doigts par les adultes.

L'histoire de l’empoisonnement de l'ancien espion est un modèle du genre. Il signe son forfait avec un poison spécifique pour qu'il n'y aie vraiment aucun doute, et quand il voit que cela réagit un peu plus que d'habitude, il nie comme un arracheur de dents.

Avec un guignol instable comme Trump, un Poutine certes redoutable joueur d'échecs mais pas là l'abri d'une sortie de route, c'est encore le chinois qui passe pour le grand frère rassurant dans l'histoire. Quand à l'EU, cela reste un géant économique mais un nain politique aphone.
En termes de provocation je ne suis pas sur quelle soit dans le camp de ceux a qui tu l'attribues.
Autant j'admet que Poutine n'est certainement pas le plus grand democrate que l'on puisses nomme, autant sur les grands dossiers, du moins ceux dont on a la connaissance, j'ai l'impression qu'il est plus dans le role de celui qui se defend que dans celui qui attaque.
En europe par exemple, contrairement a ce qui avait ete promis a Gorbatchev, les frontieres de l'otan ont ete etendues et qui plus est, ont leur pose des missiles tout autour de leurs frontieres.
Et sur le sujet, on se souvient tous de comment les US avaient reagi lors de l'incursion inverse a Cuba.
Pour ce qui est de l'empoisonnement en Angleterre je t'invite a regarder l'interview d'Alain Juillet, ancien directeur de la DGSE, et tu verras qu'il ne partage pas ton anthousiasme. :P
Et pour ce qui est de la paix en general, force est de constater que si on s'en refere, pour cela, au nombre d'implication militaire dans le monde de ces 2 pays, on peux pas vraiment dire que les US soit du cote de la paix!!!
Le complexe militaro indutriel de ce pays n'en a certainement pas tres envie contrairement aux discours que tous ces gentils nous deversent dans les medias.
Et comme maitenant ils ont en plus cree le concept de guerre preventive, je te dis pas l'immense marche qu'ils se sont offert!!!
Et sur le dossier de la syrie, seule la russie se trouve du cote de la legitimite (meme si elle est contestable d'un point de vue moral, elle est incontestable du point de vue du droit international), les autres, europe compris, soutiennent les memes qui viennent mettre les bombes dans nos pays!!

neo
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09 avr. 2018 16:08

La a mon avis, avec russie, syrie, bombe, et US dans le meme message, je crois que ton site et moi sommes definitivement fiches a la NSA :lol: :lol: :lol: :lol: et peut etre meme fiche S.

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neo a écrit :
09 avr. 2018 15:55
En termes de provocation je ne suis pas sur quelle soit dans le camp de ceux a qui tu l'attribues.
Ne te méprends pas, je suis tout sauf un ami des US ;)

Mon pays, la Suisse, a déjà plusieurs fois été 'attaqué' durement par les États Unis de manière totalement injustifiée. Notamment dans l'affaire des 'Fonds Juifs en déshérence' et du secret bancaire. Et pourtant, la Suisse est théoriquement un 'ami' des États Unis :roll:

Donc mes propos ne sont pas du tout un jugement de valeur, mais un constat factuel! Et mon constat est que du point de vue économique, Poutine risque de ne pas résister éternellement.

Je dirais même que Poutine risque à terme un 'bis repetita' de ce qui a provoqué l'effondrement de l'URSS. A savoir des dépenses militaires décorrélées de la taille et de la santé de l'économie.

Certes Poutine peut s’enorgueillir d'avoir une dissuasion nucléaire crédible et des forces conventionnelles en réarmement. Mais si les américains peuvent quasiment détruire le géant russe de l’aluminium, pas en bombardant les usines, mais simplement en rajoutant le nom de son patron sur une liste de sanctions, les fameux missiles S-400 n'y pourrons rien ...

En Syrie, Putine fait le job en empêchant un effondrement du régime. Cela lui coûte un bras en dépense militaire, sans compter qu'il faudra reconstruire le pays. En plus, il n'a pas toutes les ficelles en main, les iraniens et les turcs ne sont pas des alliés facile à manœuvrer.

Bref, l'image du fantasque Trump face au tacticien de génie Poutine pourrait bien être un brin trompeuse.

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